When the madmen become the melancholicmen.

The Romantische Strasse leads further than we think, to the ends of nostalgia, introspection. The belgian Photographer Frédéric Van Hoof has brought back from a journey through the old Europe pictures that he had not in mind. Images ? Fading memories, traces of emotion, or moments, places. Great compositions and subjects sometimes tending towards abstraction, because of the weather or the light, but mainly moments that won’t come back, never. Which make them touching. 

The camera as an object of conspiracy.  

From March 15 to 17, Lost in the past exhibition. Gallery Collège27 presents ten major formats and an object created for the occasion, a newspaper printed in 200 ex. What better place than an ephemeral gallery to remind that life is too short ?

See you there. 

 

 

 

La Romantische Strasse mène décidément plus loin qu’on ne le croit,
jusqu’aux confins de la nostalgie, de l’introspection, de notre mortalité.
Le photographe belge Frédéric Van Hoof a rapporté d’un périple à travers la
vieille Europe des images qu’il n’était pas parti chercher. Des images ?
Plutôt des souvenirs évanescents, des traces d’une émotion, d’un moment, en
un lieu.
Les compositions impeccables et les sujets, tendant parfois à l’abstraction
tant à cause du travail sur la lumière que des hasards météorologiques,
dévoilent surtout des moments qui ne se reproduiront plus. Ce qui les rend
étrangement touchantes.
L’appareil comme objet de conjuration.
 
Du 15 au 17 mars, Lost in the past expose à la Collège27 galerie dix grands
formats ainsi qu’une œuvre-objet créée pour l’occasion, un journal tiré à
200 exemplaires.
Quel endroit mieux choisi que cette nouvelle galerie éphémère pour rappeler
que la vie est trop courte ?

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