Another embarrassing question and La Libre Belgique newspaper of the 22th of May gives two answers – in french only, sorry. In short: Math develops essential mental gymnastic. Geometry allows us to understand the space around us. Then, students graduating in math succeed better than others, even in literary courses. Finally, most jobs ask for math.
Math are also tools for understanding the world. « The great book of the nature is written in mathematics » (Galileo). Why do we love – or not – the math? The specificity of the math is that it is non-linear. « In six months of tennis, you’ll play better than in only three months. It’s not the same with the math. Practice maths for three months, nothing happens, then once you get it. To love math more, we should build bridges between math and other disciplines. To motivate children to learn an equation, let us explain what happens when they clic on Google. Google is nothing other than math. That seems more motivating than an abstract « x + 2x – 2 ».
Interro pour parents. 2ème.
A quoi servent les maths ? Autre question embarrassante à laquelle la Libre Belgique du 22 mai donne deux réponses.
Les maths développent une indispensable gymnastique mentale et forment différentes qualités de microraisonnements. La géométrie permet d’appréhender l’espace autour de soi et de comprendre les mécanismes de projection, selon Christian Michaux (centre de recherche sur l’enseignement des maths). Les étudiants qui sortent de secondaires en maths fortes réussissent mieux que les autres, même dans les filières littéraires. « Faire une preuve en maths a quelque chose de faire une plaidoirie en droit. » Enfin, sans les maths, beaucoup de métiers restent hors d’atteinte.
Les maths sont des outils pour comprendre le monde. « Le grand livre de la Nature est écrit en mathématiques » (Galilée). Pourquoi aime-t-on – ou pas – les maths? La spécificité des maths est que c’est non linéaire. « Si on fait six mois de tennis, on apprendra plus qu’en trois mois? Avec les maths, non. On fait des maths pendant trois mois, il n’y a rien, puis en une fois on a compris. Deux fois plus de maths ne veut pas dire qu’on comprendra deux fois mieux », dit Luc De Brabandere (Louvain school of management). Pour faire aimer les maths, il faut bâtir des passerelles entre cette matière et les autres, et la replacer dans notre époque. « Pour motiver les enfants à apprendre une équation, partons de ce que réalise Google quand ils cliquent: Google n’est rien d’autre que des mathématiques. Amazon qui vous recommande un bouquin et tape dans le mille aussi. Partir de là pour expliquer les maths semble plus motivant que l’abstraction : « x + 2x – 2 ».